#8 – Gossip Girl

by Mrs W.

Il est partout.

Sous forme de magazines nonchalamment disposés sur la table de la salle d’attente du cabinet de notre médecin, dans les nombreux sites web ou blogs spécialisés (qui se distinguent davantage par leurs images volées sur le vif que par la profondeur de leurs analyses), ou encore dans des vidéos ou émissions de commentateurs se délectant, popcorn à la main, des moindres faits et gestes des stars ou célébrités sous les projecteurs d’un public assoiffé d’ « informations » croustillantes.

Plus proche de nous que l’on ne le croit, il se glisse aussi dans les bruits de couloir sur notre lieu de travail et se répand comme une trainée de poudre, passant souvent par des miroirs déformants avant d’arriver à destination : notre bureau. Vous l’aurez deviné, je vous parle du ragot, de la rumeur, des cancans, des potins, du gossip.

Croustillant, je vous disais…Du moins jusqu’à ce qu’on en soit victime.  Voyons de plus près.

Episode 8 - Gossip Girl: Comment réagir aux fausses rumeurs, ragots, gossips au travail? Peut-on couper court et rétablir certaines vérités? Voici quelques pistes de réflexion sur les ragots au bureau.

Sommaire

  1. Un péché mignon
  2. Gardons nos distances
  3. Le ragot nous unit
  4. Trier l’information
  5. Langue de vipère et soeur sourire
  6. Entre savoir et pouvoir
  7. A la recherche de la vérité…

1. Un péché mignon

Je dois bien l’avouer, en matière de ragots, je suis bon public.

Généralement incollable sur la dernière rupture fracassante dans le monde du show-biz ou sur le détail des tenues des invités de prestige des oscars, grammys ou du dernier mariage princier (THE événement dont je parlais d’ailleurs l’air de rien en introduction de l’épisode 1).

Je suis aussi très friande de certaines émissions américaines traitant des derniers potins du moment et je dois dire que je prends un malin plaisir à les regarder, une tasse de thé à la main, n’hésitant pas à débriefer des « infos » emmagasinées avec mes copines, cousines ou amies partageant le même appétit pour les gossips car on peut dire que, pour le coup, mon mari s’en fiche « royalement »que  la soeur de Beyoncé ait tapé Jay-Z car il aurait trompé Beyoncééééé !

Si tout va bien, mon interlocutrice me répondra: « Mais noooooon ! » et c’est là que j’enchaine logiquement en donnant tous les détails comme si j’avais vécu la crise du couple de l’intérieur.

Comment réagir aux fausses rumeurs, ragots, gossips au travail? Peut-on couper court et rétablir certaines vérités? Voici quelques pistes de réflexion sur les ragots au bureau.

Rien de bien méchant ! Et franchement, après une longue journée durant laquelle on a fait fonctionner ses méninges sur des questions juridiques complexes (ah oui ça ne se ressent peut-être pas avec le début de cet article mais je suis juriste et ait même été avocate, si si croyez-moi mon parcours est ici), on a bien le droit de se vider la tête, non ? C’est ce qu’on se dit, en tout cas.

Un vrai petit plaisir donc.

2. Gardons nos distances

En revanche, dans le milieu professionnel, j’ai très vite compris que le gossip peut être une arme dangereuse dont il vaut mieux rester éloigné(e).

Instinctivement (always trust your guts !), je me suis toujours dit que je n’aurais aucun intérêt à prendre part activement à des rumeurs ou ragots, car cela ne m’apporterait rien et pourrait, au contraire, se retourner contre moi.

En amorçant ma carrière professionnelle, je pensais que je devais, avant tout, observer le milieu dans lequel j’évoluais pour comprendre qui est qui avant de me prononcer sur les gens.

J’avais bien ma petite idée, mais je la gardais pour moi : « J’en saurai plus dans six mois » est d’ailleurs devenu pour moi une expression consacrée que mes cousins m’empruntent avec un rire un peu moqueur face à mon refus de me prononcer au début d’une relation professionnelle.

Cela veut-il dire que je n’ai jamais écouté ou répété un ragot ? Poser la question c’est déjà y répondre.

3. Le ragot nous unit

a.- Je ragote, tu ragotes, nous ragotons

J’ai toujours été très prudente par rapport aux bruits de couloir mais même si on veut éviter les cancans ou faire mine de ne pas les écouter au début, ils finissent toujours par arriver à nos oreilles.

Déjà, si la curiosité est notre vilain défaut (je plaide coupable), on aura envie de savoir ce qui se dit et se partage. De plus, il faut bien reconnaître que les bruits de couloir tissent d’une certaine manière un lien social.

Quand le ragot tisse le lien social: Comment réagir aux fausses rumeurs, ragots, gossips au travail? Peut-on couper court et rétablir certaines vérités? Voici quelques pistes de réflexion sur les ragots au bureau.

J’ai déjà vu des personnes qui se détestaient profondément s’unir dans la destruction par la rumeur d’une tierce personne qu’elles cherchaient manifestement à abattre (professionnellement bien sûr).

Cette tierce personne était devenue le bouc-émissaire et le mal qui expliquait tous les problèmes de la terre. Alors tous les prétextes étaient bons pour médire, raconter, interpréter, répandre des bruits sur l’ennemi désigné.

b.- Une fondation pas si solide

Toutefois, j’ai pu observer que lorsque l’union est fondée sur la destruction (ici d’un tiers), elle ne peut être que de courte durée.

De fait, lorsque l’ennemi juré avait finalement pris la poudre d’escampette et orienté sa carrière vers d’autres cieux, on aurait pu croire que tous les problèmes allaient se résoudre comme par magie. Mais non, bien au contraire, à partir de ce moment-là, la situation s’est rapidement dégradée : les survivants se mangeaient entre eux à présent.

Mais où était passée l’union sacrée ?

Elle était un leurre, comme celui de croire qu’une relation basée uniquement sur la médisance d’autrui sans valeurs partagées peut amener à quelque chose de constructif et de durable.

Aussi, j’ai un jour pris conscience que les personnes qui étaient les premières à raconter des histoires abracadabrantes sur d’autres personnes, sans aucune retenue seraient certainement capables de se répandre en passionnants romans sur notre propre vie.

Qu’est-ce qui garantissait la loyauté d’une personne qui nous raconte, sans vraiment nous connaître, les plus vils épisodes de la vie d’une autre personne sans qu’on l’ait demandé et sans le moindre égard pour la réputation d’autrui.

Au moment où elle raconte son cancan, la personne semble se délecter de notre réaction, de nos expressions faciales, de nos questions de suivi (il faut quand même creuser sous tous les angles cette histoire de relation extraconjugale au sein du bureau, non?) et du sentiment de susciter tout notre intérêt (pas étonnant avec nos « où, quand, comment, pourquoi? » ponctués de « c’est pas vraaaaaaai ! »)

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Il y aurait presque un sentiment de puissance à peine masqué par la formule « surtout tu gardes ça pour toi, hein ! »

C’est une blague ? Elle vient de m’annoncer la nouvelle du siècle et je suis censée ne rien en faire ? Evidemment qu’il ou elle veut que je la raconte à qui veut bien l’entendre…Le but est de médire et de détruire gratuitement.

Sinon à quoi servirait une rumeur ? Je me le demande.

4. Trier l’information

Prudente je l’ai été mais curieuse aussi. Parfois, j’ai l’impression que c’était écrit sur mon visage : « Venez me raconter tout ce que vous savez sans limitation».

A croire que ma tronche inspirait confiance.

Beaucoup de personnes se sont confiées à moi partageant l’information la plus futile à la plus secrète et embarrassante sur eux-mêmes ou sur des tiers. Ma curiosité était aiguisée et très souvent nourrie, sans même que je ne les sollicite.

Je me rappelle qu’une de mes collègues avocates appelait mon bureau « le bureau du bonheur » car très souvent les gens venaient y rigoler, se confier, ragoter ou même sangloter à la recherche d’une parole rassurante (mais on y travaillait beaucoup aussi hein).

La question était davantage de savoir ce que j’allais faire de ces informations.

Dossiers secrets: comment réagir aux fausses rumeurs, ragots, gossips au travail? Peut-on couper court et rétablir certaines vérités? Voici quelques pistes de réflexion sur les ragots au bureau.

Je ne pense pas faire partie de celles qui allaient répéter à tout va tout ce que j’entendais.

Premièrement, il était important d’identifier la personne qui me donnait l’information et ses motifs (oui j’adoooore analyser):

  • Etait-elle fiable ?
  • Que cherchait-elle en me donnant cette information ?
  • Quel était son intérêt  en me faisant des révélations à ne répéter sous aucun prétexte ?
  • Voulait-elle me donner un sentiment de confiance afin que je baisse ma garde ?
  • Prêchait-elle le faux pour que je lui dise le vrai et partage à mon tour des choses  (surtout ne rien dire de significatif) ?

Il y a 1001 raisons pour lesquelles une personne vient s’épancher dans notre bureau ; parfois c’est juste l’ennui, ne soyons pas paranos mais gardons l’œil ouvert (on ne nous aura pas !).

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Ensuite, je dirais que c’est une histoire d’instinct.

Certaines informations qu’on m’a confiées ou situations gênantes dont j’ai été témoin, je ne les ai tout simplement jamais répétées, estimant qu’elles pourraient ruiner bêtement la réputation d’autrui.

Par contre, on peut se sentir plus à l’aise de partager des informations connues de tous ou sans réel dommage ou impact.

Mais, à mon humble avis, la partie la plus difficile est de savoir à qui on confie des informations et du pouvoir de nuisance de la personne à qui on la confie ; un pouvoir de nuisance pour autrui mais aussi pour nous-mêmes (par exemple s’il s’agit d’une personne qui ne pourra pas garder la moindre confession ou n’hésitera pas à dire à qui veut l’entendre que le tuyau vient de nous).

Résultat, je limitais mon audience à des personnes qui avaient gagné ma confiance au fil du temps (j’ai eu la chance d’en avoir quelques-unes) car je savais que ce que je leur racontais resterait entre nous. Peu de chances qu’elles me fassent un coup derrière le dos. Je me sentais plus libre de communiquer et d’échanger avec elles.

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J’évitais aussi, autant que faire ce peu, de me prononcer quand quelqu’un essayait de savoir si je trouvais aussi que « cette personne est une crapule absolue ».  Finalement, on ne sait jamais ce qu’il y a comme liens entre les gens.

La dispute d’un jour peut cacher des lendemains de franche camaraderie où vous vous retrouvez alors le cul entre deux chaises après l’armistice signée entre les ennemis jurés d’hier.

Je dis oui à l’oreille attentive mais se lancer dans des combats qui ne sont pas les nôtres, je dis mille fois non.

5. Langue de vipère et sœur sourire

Dans l’importance du choix des interlocuteurs, il y a bien une catégorie à éviter à tout prix : les langues de vipère. Ces personnes qui ont tendance à absolument tout déformer ou à faire une montagne de rien du tout en saupoudrant le tout d’une médisance crasse.

Il vaut mieux ne pas se retrouver dans leur ligne de mire ou même pactiser avec de telles personnes car aucune proie ne leur échappe, y compris vous-même. Leur grand sourire ne les empêchera pas de répandre les rumeurs les plus fausses à votre sujet.

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Attention. Ceux qui disent que les femmes sont incapables de se soutenir se trompent.

Je le déclare, une vraie sororité est possible même dans le travail (j’en parlais déjà dans l’épisode 2 – l’autre noire du cabinet), mais il faut parfois du temps pour trouver ces personnes qui pourront s’avérer être un vrai soutien, y compris contre la rampante rumeur.

Heureusement, j’avais des personnes de confiance pour me rapporter ce qui pouvait être dit à mon sujet. On avait un réel système de support : dès qu’on entendait un sale bruit l’une sur l’autre, on démentait et rétablissait la vraie histoire et surtout on prévenait notre amie comme ça elle n’était pas la dernière au courant.

Quant aux langues de vipère, si elles peuvent être redoutées par leur pouvoir de nuisance, elles peuvent finir par être démasquées ou même décrédibilisées (l’espoir fait vivre).

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Je me souviens de l’une d’entre elles qui avait cette fâcheuse tendance à toujours tout déformer sur tout le monde.

J’en ai été la victime lorsqu’elle s’est amusée à réinventer auprès de certaines personnes les motifs pour lesquels je quittais le cabinet d’avocats dans lequel nous travaillions alors que j’avais expressément expliqué que je quittais le barreau après 8 longues années de bons et loyaux services car j’aspirais à des opportunités plus internationales.

Grâce à mon système de support, j’ai pu la démasquer et décrédibiliser ses propos auprès des personnes qui me posaient des questions.

Je n’étais pas sa seule victime, il faut croire.

J’ai appris qu’en fin de compte, ses histoires à dormir debout s’étaient retournées contre elles car à force de raconter tout et n’importe quoi sur tout le monde, elle avait fini par s’isoler et s’attirer les foudres de nombreuses personnes.

On ne peut pas cacher trop longtemps sa nature, j’en suis persuadée.

6. Entre savoir et pouvoir

On dit souvent que la savoir est le pouvoir.

Je dirais qu’il ne faut pas rester entièrement naïf et croire qu’on peut échapper totalement à la circulation de rumeurs diverses et variées.

Cela fait partie du job et il vaut mieux être au courant de ce qui se dit même si on reste lointain et ne participe pas activement à la rumeur.

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Le fait d’être au courant de certains bruits peut permettre de ne pas être surprise par certains développements dans la structure au sein de laquelle on évolue.

Du coup, on est mieux préparé, par exemple, à des ouvertures de postes, des changements de structure ou de pouvoir ou même on peut enfin prendre conscience des véritables intentions d’une personne qu’on croyait notre alliée mais qui en fait s’avère être une langue de vipère.

7. A la recherche de la vérité…

a.- Victime de la rumeur

Et si l’on est victime de la rumeur ? Cela peut arriver.

Dans mon cas, j’ai démenti les choses erronées dites à mon sujet. Mais, soyons réalistes, je ne saurai jamais ce qu’il en est advenu auprès des récepteurs des ragots.

Car la rumeur file, court, et se faufile. On aura beau essayer de la dompter, elle finit parfois par nous échapper.

C’est un fait qu’il faut bon gré mal gré accepter et sur notre travail finalement nous concentrer. Car plus que les paroles, les actes parlent d’eux-mêmes et permettent à leur tour dans certains cas de rétablir certaines vérités.

Du moins, je l’espère.

b.-  Gossip Girl, moi?

L’honnêteté impose également d’admettre qu’il est nous est déjà arrivé d’être dans la peau de la Gossip Girl.  En prendre conscience est déjà un premier pas mais après, on fait quoi?

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Personne n’est parfait mais en ce qui me concerne, le fait d’avoir vécu le ragot de l’intérieur et même d’en avoir été victime à certaines rares occasions (du moins c’est ce que je crois)  m’a appris à faire preuve d’une extrême prudence.

Car finalement, n’oublions pas pourquoi on est à ce poste aujourd’hui, ce que l’on veut atteindre comme objectifs demain sur le plan professionnel et ce qui nous aidera à nous en rapprocher.   La médisance est, selon moi, loin d’être un tremplin solide pour s’élever.

Les commérages et fausses rumeurs peuvent parasiter nos objectifs et même, dans certains cas, nos relations , en nous mettant à dos sans nous en rendre compte des personnes qui pourraient être cruciales dans notre évolution.  Même en restant sur le plan purement pragmatique et égoïste, ça ne parait pas un plan gagnant.

Rester au courant de ce qui se trame dans la structure dans laquelle on travaille est indispensable (le savoir c’est le pouvoir, c’est ça?), mais l’exercice (difficile, je vous l’accorde) consistera à se tenir informé de ce qui compte :

(1) sans se laisser parasiter outre mesure par de fausses rumeurs : en effet, une expérience n’est pas l’autre.  Parfois, il vaut mieux oser se faire sa propre opinion sur une personne que de se reposer sur le ouï-dire.  Les bruits entendus permettront de rester prudent et « aware » – comme disait l’autre – mais il serait bête de perdre son esprit critique et potentiellement rater une opportunité.  J’ai parfois découvert par moi-même que des personnes décrites par tout le monde comme imbuvables pouvaient par magie se révéler être des mentors insoupçonnés (on avait déjà parlé de l’importance des mentors dans l’épisode 7 – il n’y a pas de non qui tienne) car en fait ça cliquait avec moi.

(2) et en tout cas en s’abstenant de répandre activement des ragots qui peuvent s’avérer inutilement dévastateurs pour autrui, et même pour nous.

Se concentrer sur soi semble le meilleur investissement qui soit.  True story !

Et toi, t’en penses quoi des rumeurs? Allez, sois pas timide, promis je garde ça pour moi 😉

On est ensemble,

XoXo.

Mrs W.

 

Petite note à l’attention de mes lecteurs et lectrices

Pour ceux qui ne connaissent pas, le titre Gossip Girl est une (pas si) subtile référence à une série américaine du début des années 2000 intitulée Gossip Girl qui se déroulait dans la bourgeoisie chic de New-York. La série suivait les tribulations et histoires de coeurs d’un groupe de jeunes et beaux gosses de riches supposés ados (mais qui entre-nous avaient l’air d’avoir 23 ans). Pour corser un peu les choses, au sein de l’école, une blogueuse anonyme (Gossip Girl) révélait les derniers potins concernant le groupe de protagonistes principaux en signant chacun de ses posts par la formule XoXo, Gossip Girl.    

 

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2 comments

Ashanti80 24 novembre 2018 - 18 h 14 min

J’espère que ce que je dirais ici restera entre nous🤣.
Merci d’avoir abordée avec autant de tact et de légèreté ce sujet si sensible. La rumeur, l’arme fatale des personnes qui s’ennuient au travail, qui ne le font pas bien et pensent ainsi compenser leur manque de rigueur en rapporter tout et n’importe quoi aux autres et aux bosses..Un conseil d’amie: Ce métier de ces peroznn3s qui te racontent, deux jours après ton arrivée, des ragots sur les autres… Just saying 😁

Reply
Mrs W. 24 novembre 2018 - 20 h 31 min

Je ne dirai rien hahaha ! Merci pour ce gentil retour ! Je pense que tu tiens quelque chose là avec ta théorie de la compensation. Et oui gardons l’œil ouvert ! Merci de me suivre si fidèlement 😊

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